Evaluer cet article Il a de votre sceptre abattu le soutien. Le Cid. Pierre Corneille A Lire AussiQui me regarde ainsiQui marche assurément n’aIl y a les poètes qui sententTrop heureux le mortel Ne t’afflige pas avant le malheur,l’instant où il te frappera, Le chant de ceux que j’aime n’est jamais En ne voulant pas lui faire de peine, je lui ai fait beaucoup Froid et neige de décembre, du blé àSi les poissons sautent dans l’eau, tu vas Ne cesse point d’apprendre, pas même un instant. PARTAGER