Cultivons nousTu traversas naguère
Les neiges du Grand Nord
Les forêts amazoniennes
Les sables brûlants
Du désert
Heureux aventurier
Tu narrais tes exploits
Tandis que le silence
Tissait sa toile
Tout autour de toi
Par dessus la foule qui t'écoutait
Religieusement
En ce jour un peu gris
De novembre
On vient encore t'encenser
Tandis que tu reposes
En ton cercueil
Et que le curé
S'apprête à dire
Une oraison funèbre
© Jacques Herman – 2007
Il n’y a de mariage que par
La Princesse et le porcher
Certains hommes attendent l’infidélité
En dormant cette nuit, je songeai que ma dame
Le vin fait surnager les secrets.- En mars, les vaches au pré,
L’histoire
A la Madeleine, la faucille à l’aveine. (avoine)
Les lycéens ont raison de manifester:
Croquis parisien