Evaluer cet article Et nos deux âmes s’étreignirent de toute la force de nos bras. Le Petit Chose 1868 Une citation de Alphonse Daudet A Lire AussiUne belle femme plaît aux yeuxL’infini n’est autre que le va-et-vient entre ce qui s’offreValéry s’indignant qu’on attachât plusGenêt fleuri, gel enfui.Maraud, qui n’es maraud que de nom seulementLa tragédie de la mortLa chasse de nuit, je suis contre; çaL’autre jour j’étais chez Carrefour en train d’acheter un Grand sac Ceux qui croient Notre amour était si fort PARTAGER