Cultivons nous
O combien de fois mon cSur dillusions se berça comme sanctifié
Quand les langueurs obsédantes dun esprit tourmenté
Ont mis au passé nos amours dépassées
Par trop dâme, trop de sincérités évoquées
O combien par trop dorgueil dissimulé
Me sera-t-il possible à nouveau daimer ?
Quand par les volets de ma chambre dorée
Ma jeunesse en pente sera terminée
Et quau fond je naurai plus rien de grand à donner
Pourrai-je alors encore nous aimer ?
Je devine la violence quand mes mots en toi se brisent
Et jécoute lair wagnérien de notre amour angélique
Ne jamais implorer mais toujours y penser
Parnasse ou classique destinée
Laissons faire le courant nostalgique
Des philosophes et des cantiques
Ma version rhétorique de lamour platonique.
Valérie Bergmann
Je ne suis pas aussi puritaine qu’on veut le croire. Même si je ne pense pas
Tout coup vaille.
Tous ceux qui travaillent se
Si tu donnes à quelqu’un un
Mange le fruit, sans
Qui dîne avec les grands les quitte avec la
Servez saint-Côme et saint-Damien, vous vous porterez toujours 
Au mois d’août on se mettrait dans un- Quand le grillon commence à chanter, il n’y aura plus de
Dans l’âge mûr, on arrive naturellement à être moins superficiel, mais en