Entre les rangées d'arbres de l'avenue des Gobelins
Une statue de marbre me conduit par la main
Aujourd'hui c'est dimanche les cinémas sont pleins
Les oiseaux dans les branches regardent les humains
Et la statue m'embrasse mais personne ne nous voit
Sauf un enfant aveugle qui nous montre du doigt.
Une statue de marbre me conduit par la main
Aujourd'hui c'est dimanche les cinémas sont pleins
Les oiseaux dans les branches regardent les humains
Et la statue m'embrasse mais personne ne nous voit
Sauf un enfant aveugle qui nous montre du doigt.
Textes poétiques
Jacques Prévert
14 janvier 2008 @ 21:37 martins
unique
la nostalgie des grands poete qui a ce jour on tous disparue
7 mai 2008 @ 23:22 BORNAND
sans importance
Il y a parfois chez Prevert ce que l’on peut trouver de plus beau dans la poesie francaise. En tout cas c’est ce que je pense. 🙂
2 décembre 2009 @ 10:38 sindy crowforde
salut cheri
sa va mon coeur en laine douce g envi de te rencontrer pour fair … devine quoi
29 mars 2010 @ 20:33 Ali
j’ai pas pu comprendre ce poeme .. : (