Evaluer cet article Cinna, tu t’en souviens, et veux m’assassiner. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiLa boutureCousine GabrielleL’argent, c’est comme les femmesOn peut comparer le monde à unQuand on donne le Goncourt à unA la fourche, on reconnaîtL’amour qui ne ravage pasDes sottises d’autrui nous Y’a Toto qui a un ami qui s’appelle La Je me demande si c’est moi qui vieillis ou si c’est le PARTAGER