Evaluer cet article Cette désoccupation de la pensée m’est pénible. Journal 1889-1939. André Gide A Lire AussiLes Heures de l’inspirationC’est drôle comme les gensDisposez de sa main, et pourIl me doit encore quinzeBritannicus ACTE III Scène VIIIL’orphelin, même vieillard, fait couler mes larmes.N’ayez pas le cœur conditionné par la richesse.Trois semaines après le jour de ses noces, Brigitte téléphone au prêtre qui l’aQuant il pleut à la Saint-Georges, sur cent cerises La politique actuelle est la religion des riches. PARTAGER