(Publié le 16 avril 2011) (Mis à jour le: 16 août 2017) Evaluer cet article C’est comme si s’ouvrait en moi le soupirail de l’abîme, comme si se débondait en moi tout l’enfer. Journal 1889-1939, 25 mars 1927. André Gide A Lire AussiRien n’est beau que le vraiIl ne faut pas faire contre mauvaise fortuneII y a un goût dans la pure amitiéEmile Zola, histoire et biographie de ZolaNotre ombreIl n’y a que ceux qui vous fréquentent qui connaissent vos Notre conscience contemporaineLe rossignol chante clair toute la nuit, beauJe l’ai promisEcoutez, je suis Jean ! (en réponse à V. Hugo) PARTAGER