Evaluer cet article C’est alors que j’éprouvai la singulière disposition de mon esprit à se laisser griser par le sublime. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire Aussipour toi mon amour éternelLe sage est heureux jusqueAux U.S.A. avec deux bourbonsDans la mesure où une choseHorace ACTE II Scène VHierRien n’est beau en soi maisLes amants malheureuxOù il y a de la vie, il yIl faut estimer comme un bien le moindre PARTAGER