Evaluer cet article Ce qu’il y a de plus extraordinaire peut-être dans le besoin de l’extraordinaire, c’est que c’est, de tous les besoins de l’esprit, celui qu’on a le moins de peine à contenter. Journal 1889-1939. André Gide A Lire AussiBeau temps de sainte-Emilie, donne des fruits à Laissez-vous allerVivante et morte séparéeLa fille qui me fait vivre[Saint Fernand] S’il pleut en juin, le jardinier rongeVenez avec moi, monsieur, etLes hommes se montentSuis le conseil deLa prière est le plus grandSavez-vous pourquoi une blonde est contente PARTAGER