Yann Isoardi

je suis en moi, je vis reclus
Dans l’absolu de l’inconnu
J’avance en moi, je suis perclus
Par la violence des heures indues

Parfois aussi j’écoute le vent
Qui porte au loin mes doléances
Elle se confondent au détriment
De tout ce qui fait ta fragrance
Lire la suite...

Quand j’ai le cœur à la dérive
Des rives aux routes tout en déroute
Ma vie se plisse et se déboute
Elle se parsème, remplit de doutes

Quand j’ai le cœur à la dérive
Il se dérobe à l’impudence
Devient méfiance et arrogance
Trahit en transe par l’insolence
Lire la suite...

Petite bulle de particule
Explose et ruine mes molécules
Des vents violents soufflent en ma tête
Ces vents amers qui font la fête

Petite bulle d’incertitude
Qui broie mes doutes et les accule
Dans des caveaux, des sépultures
Toujours plus noirs que le parjure
Lire la suite...

Qu’est-ce qui nous fait écrire ?

J’ai avoué aimer, mourir sans transition
Un serpent venimeux cruel et délicieux
L’amour est une tombe ouverte sur la raison
Dans laquelle on y trouve les poètes malheureux

S’oublient en jolies phrases écrites des tréfonds
Pernicieuses souffrances, telles sont les émotions
Accoucher d’un écrit aux multiples saisons
Donne aux larmes une saveur dont l’acide est passion
Lire la suite...

Réalisation : www.redigeons.com - https://www.webmarketing-seo.fr/