poésie raymonde verney

Recueils de poèmes

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Dans une buée frivole ils s’avancent impatients
D’atteindre les eaux torrides  ruisselantes dans une cellule
Les amoureux  hâtent l’attente au sortir des bains
Leurs mains rejoignent l’effervescence des bulles

Attendrissant, ce couple introduit la nostalgie
Dans ce sauna où les regards démentent l’inertie
Regrets, aiguillon d’un passé où l’amour s’était infléchi

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carign11
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  Rencontre poétique  où les mots s’appuient      sur une plume   Passage des ombres, bruit incongru je m’éprends du silence Faciès des inconnus qui se bousculent, seule livrée à mon indigence Sourire étanche on me questionne poétesse confite en écriture ?  

le-pay-des-contes-de-fees
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Démesure Passion Mon  enfance m’octroya  une passion sans retenue Les livres de moi s’éprirent  je fus l’égérie des mots bleus Dans mon jardin flottaient des senteurs d’encre Le papier se respirait  sur fond d’errance

covent-poesie
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La peur se souvient encore des gémissements perçus Les nuits où la lune orangeait son profil D’une fontaine ceinte d’un auvent ténu Se réverbérait  une lumière verte et nubile Apparaissait un fantôme aux cheveux verts pendants Son visage trahissait un désarroi, une absence LAURA fut tuée d’ici mille ans par une épée au cœur tranchant…

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              Vous ai-j aperçu ? Dans une fuite il me semblait Pourtant vos yeux essuyaient mon trouble Mes paupières rougissaient, je vous observais Féline, la soirée posa un accent double                              

paysage-poesie
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Le silence  se perd dans les ombres veloutées D’une pensée recluse sillonnant le passé Mystères enfouis spectres érigés en loi Taire des erreurs muées au fond de soi

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         LE REVE    Le rêve, itinérance qui congratule le néant Apostrophe de désirs, au souteneur de serments Réalité obsolète qui trahit les fols instants D’une vie au timbre usé qui lasse les pédants  

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   Carillonnant à  bon escient cette petite cloche esquivait les corvées Certes son timbre doux et rêveur incitait à l’oraison Les églises de leurs habits sacerdotaux se revêtaient pourtant… La petite effrontée nommée ZYNLA ne sonnait qu’aux heures indues Confusion des vêpres, des messes dans ce quartier où la pénitence  

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   Souffle le voile hagard qui découvre mes défuntes années Grand maman argumente ton départ pourquoi m’as-tu délaissée ? Dans cette  bruine du mois d’octobre fine et obstinée Mes pleurs orphelines  et solitaires balaient le temps       

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