Poèmes An Braz

Où te caches-tu, Avalon ?

Sous quel rêve t’es-tu endormi ?

A quelles pensées tu t’abandonnes ?

Auquel de mes souvenirs tu souris ?

Où te caches-tu, Avalon ? Sous quel rêve t’es-tu endormi ?

A quelles pensées tu t’abandonnes ?

Auquel de mes souvenirs tu souris ? Au fond de mes tripes je te sens

Qui donne de petits coups de pieds

Et qui se fait des plus insistants

Au fond du silence de mes pensées.

Lire la suite...

Un message posté sur le souffle d’un vent
S’envole à ma portée m’insuffler tes mots avenants :
Sentiments dévoilés tout comme ta pudeur
Et puis ton corps olé à mon regard protecteur…

Un message posté sur le souffle d’un vent
S’envole à ma portée m’insuffler tes mots avenants :
Sentiments dévoilés tout comme ta pudeur
Et puis ton corps olé à mon regard protecteur…
Lire la suite...

Femme, Lorsque l’automne souffle sur tes charmes, Qu’un à un tes vêtements tu effeuilles, Alors moi de mon côté je rends les armes : Moi je frissonne tout comme une feuille.  

Le Temps, pareil aux vagues sur le sable, Ronge et ronge le rivage de ma mémoire, Glisse entre mes doigts, insaisissable, Me laissant couler vers mon seul désespoir.  

Poème démystificateur dédié à la Mort. Le Temps me poursuit à chaque heure Sans jamais un soupçon de repos ; Il rit ! Il rit ! Qu’il se sait vainqueur : Un jour il me fauchera au saut.

Méduse, Méduse, Ô chimère révélée à mes yeux, Ton regard bleu argenté aux reflets étincelants A gelé mon corps de toute résistance, laissant Mon cœur ardent se consumer de mille feux.   (A Hélène Grimaud.)

Une feuille s’envole sur le gazon S’élançant par de si longs à-coups Et s’en vient me caresser au cou, C’est la morte-saison ; Et au beau milieu des va-et-vient Que font ses soeurs dans leur cimetière Mon être se langui de chagrin A voir filer un nouvel hiver.

Réalisation : www.redigeons.com - https://www.webmarketing-seo.fr/