Poésie Victor Hugo

L'année terrible

Personne pour toi. Tous sont d'accord. Celui-ci, Nommé Gladstone, dit à tes bourreaux : merci ! Cet autre, nommé Grant, te conspue, et cet autre, Nommé Bancroft, t'outrage ; ici c'est un apôtre,  

(Un extrait) …Ce n'est pas le canon du noir vendémiaire, Ni les boulets de juin, ni les bombes de mai, Qui font la haine éteinte et l'ulcère fermé. Moi, pour aider le peuple à résoudre un problème,  

Enfant, on vous dira plus tard que le grand-père Vous adorait ; qu'il fit de son mieux sur la terre, Qu'il eut fort peu de joie et beaucoup d'envieux, Qu'au temps où vous étiez petits il était vieux,  

Le dernier jour

Bicêtre.

Condamné à mort !

Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence,

toujours courbé sous son poids !

Autrefois, car il me semble qu’il y a plutôt des années que des semaines, j’étais un homme comme un autre
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