Sonnets

Las ! cettui jour, pourquoi l'ai-je dû voir, Puisque ses yeux allaient ardre mon âme ? Doncques, Amour, faut-il que par ta flamme Soit transmué notre heur en désespoir !

Quand vous lirez, ô Dames Lyonnoises, Ces miens écrits pleins d'amoureuses noises, Quand mes regrets, ennuis, dépits et larmes M'orrez chanter en pitoyables carmes, Ne veuillez point condamner ma simplesse, Et jeune erreur de ma folle jeunesse, Si c'est erreur. Mais qui dessous les Cieux

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