Poesie Antoine de Saint-Exupéry

Antoine de Saint Exupéry
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Antoine de Saint Exupéry

Antoine Marie Jean Baptiste Roger de Saint Exupéry est un écrivain, aviateur et poète français contemporain. Il est né le 29 juin 1900 à Lyon d’une famille aristocrate. Il n’a pas connu son père, mort alors qu’Antoine avait uniquement 4 ans, il est influencé par la sensibilité et le savoir de sa mère. Cette femme d’un naturel optimisme, elle a su transmettre à ses enfants des valeurs telles que l’honnêteté, le respect des autres…

Antoine de Saint Exupéry

Antoine de Saint Exupéry

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Textes

« Si je suis descendu,
je ne regretterai absolument rien.
La termitière future m’épouvante.
Et je hais leur vertu de robots.

Moi, j’étais fait pour être jardinier. »
Les dernières lignes d’une lettre adressée à Pierre Dalloz, écrite la veille de sa mort, le 30 juillet 1944.

Textes
Antoine de Saint-Exupéry

La grandeur de la prière
réside d’abord en ce
qu’il n’y est point répondu
et que n’entre point dans
cet échange la laideur
d’un commerce.

Textes
Antoine de Saint-Exupéry

Je remontais dans ma mémoire jusqu’à l’enfance,

pour retrouver le sentiment

d’une protection souveraine.

Il n’est point de protection pour les hommes.

Une fois homme on vous laisse aller.

Textes
Antoine de Saint-Exupéry

« J’écris depuis l’âge de six ans.

Ce n’est pas l’avion qui m’a amené au livre.

Je pense que si j’avais été

mineur, j’aurais cherché à puiser

un enseignement sous la terre. »

Textes
Antoine de Saint-Exupéry

« Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple :
On ne voit bien qu’avec le coeur, l’essentiel est invisible pour les yeux. »
« Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître.
Ils achètent des choses toutes faîtes chez les marchands.

Mais comme il n’existe point de marchand d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. »
« C’est tellement mystérieux, le pays des larmes. »
« J’ai toujours aimé le désert. On s’assoit sur une dune de sable.
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Battue par le vent de l’hélice, l’herbe jusqu’à vingt mètres en arrière semble couler.

Le pilote, d’un mouvement de son poignet, déchaîne ou retient l’orage.

Le bruit s’enfle maintenant dans les reprises répétées jusqu’à devenir un milieu dense, presque solide, où le corps se trouve enfermé. Quand le pilote le sent combler en lui tout ce qu’il y a d’inassouvi, il pense : « C’est bien » puis, du revers des doigts, frôle la carlingue : rien ne vibre. Il jouit de cette énergie si condensée.
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