Au contraire de l’Européen classique, le Négro-Africain ne se distingue pas de l’objet, il ne le tient pas à distance, il ne le regarde pas, il ne l’analyse pas. Il le touche, il le palpe, il le sent.
Extrait de Au congrès de l’union nationale de la jeunesse du Mali, Léopold Sédar Senghor
Une citation sur la jeunesse