(Publié le 2 février 2011) (Mis à jour le: 21 août 2017) Evaluer cet article A moi, Comte, deux mots. Le Cid. Pierre Corneille A Lire AussiLa pierre du coq Quand une besogne est faite, on ne demande pas combien elle a De l’Assomption la clarté –Adaptons-nous au rythmeLe chou-fleur, ça pue quand tuQui n’a pas d’enfants n’a pas de lumière dansOn plaint plus souvent qu’on admire, même si l’on aime Brouillard d’octobre et pluvieux novembre font bon décembre. Etre libre, ce n’est pas seulement seLa meilleure façon de surmonter le chagrin, de désamorcer le drame, PARTAGER