Cultivons nousJean-Claude mon frère
Vieil anar comme moi
Permets que je t’envoie
Ce petit poème
Dédié à tous ceux que l’on aime
Et qui portent un petit chapeau
De Zozo
Rigolo
Qui s’époumonent à
Souffler dans la
Trompette en plastique
Que l’on dit authentique
Et fit trembler les murs
De Jéricho
Anars mes frères debout
Chantons à la gloire
Des murs effondrés
Des larmes séchées
Du rire devenu fou
Hissons le drapeau noir
Entonnons tous ensemble
Le Temps des Cerises
Et que le corps nu
De idées qu’on méprise
Soit à jamais
Notre ultime vomitoire
© Jacques Herman – 2007
On ne peut ruiner
Une fois qu’on a passé les bornes
Il faut jouer pour devenir
Hélas ! je sors d’un mal
Des grands et des morts
L’amitié est un placement:
Ainsi, au prix de l’abandon de
Bien écrire sans personnalité peut suffire pour le journalisme. A- Ce n’est pas en retournant un second sablier que le
On tient d’autant plus aux honneurs qu’on en