Evaluer cet article Notre propre existence conditionne donc notre façon de percevoir ce qui nous entoure. Une citation de Jostein Gaarder A Lire AussiSaison des semailles. Le soirla lune pour un enfantIl n’y a plus d’art populaire Nous aurons amassé avarement unIl suffit d’un très petitLes voluptés, sont lesQu’appelle-t-on une blonde derrière un volantRien ne ressemble plus à la mortOn change plus facilement deDéfaut reconnu est à moitié pardonné. PARTAGER