Evaluer cet article Je ne me connais pas. Je m’imagine. Une citation de Charles-Ferdinand Ramuz A Lire AussiChant sur le berceauLe sang se lave avec des larmesCiel tristeEn amour, pour prendre son piedIl y a deux sortes deChapitre XLIIToute science commence commeTout est délicieux à celui qui a faim, rien n’est laidCe monde serait meilleur pour les enfants si c’était les parents qui étaientJanvier fait le pêché, mars en est accusé. PARTAGER